woody ★ la vérité c’est qu’on s’emmerde profondément parce qu’on a plus rien à désirer.

woody mora

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○ Prénom(s) Wony-Dawn mais Woody, ça lui colle mieux à la peau. ○ Nom Mora, et non amora. Oh la blaguounette :hehe:

○ Âge vingt-quatre ans. Date de naissance dix-huit octobre dix-neuf cent quatre-vingt neuf. ○ Lieu de naissance nicoya, costa rica. ○ Nationalités costaricienne, américaine, danoise. ○ Origine(s) costaricienne. ○ État civil célibataire. ○ Orientation sexuelle hétérosexuelle. ○ Études effectuées études en école de commerce, puis l'armée. ○ Job un petit boulot à droite, à gauche en attendant d'être promue dans l'armée danoise. ○ Ton conte préféré le rossignol. ○ Groupe chacun et chaque chose à sa place. moi aussi, je veux être un schtroumph :ivil:

PARLE NOUS DE TOI

woody, c'est un peu une salope. elle est déterminée, manipulatrice, enjouée, garce, volage, persévérante, emmerdeuse de première, colérique, menteuse (rien qu'un brin), chieuse, feignante, psychopathe, folle, fière, simple, courageuse, forte...

woody, elle aime pleins de trucs. genre les états-unis, le costa rica, ce sont les deux plus beaux pays selon moi ; les ricains ; les hommes ; les tortues, même si ça mord ; la bière ; le cannabis ; être nu pour en faire saliver plus d'un, puis me rhabiller gentiment et le laisser en plan ; les écureuils, même s'ils sont un peu cons-cons avec leurs glands ; la baise ; la bonne bouffe de mamie ; mon boulot, y a rien de mieux ; les potos ; faire chier le monde, surtout les p'tits vieux ; traiter les gamins de dix ans comme des bouseux qui y connaissent rien ; faire ma connasse.

woody, elle déteste pleins de trucs. genre les spaghettis ; la musique des années cinquante ; les films comme titanic, 'fin vous voyez le genre ; le tajine ; la beuh, ça pue j'trouve et c'est pas le kiff total ; les bébés, ça cris, ça chiale, c'est chiant, ça pue, ça t'empêche de dormir, ça te nique la vie ; les canards, c'est moche ; les gonzesses qui se prennent pour des divas, moi j'te prends, j'te claque, et j'te baise euké ? ; les lourdingues qui viennent te draguer en boîte, de manière pas sexy du tout ; la confiture de fraises.

la vie rêvée de woody woodpecker

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apprendre vaut bien mieux que de mourir
comme des millions de gens qui n'ont jamais rien su.

l'aurore

je suis née à nicoya au costa rica. j'ai grandit dans une famille de quatre enfants. j'étais la cadette, la chtiotte. pas de sœurs, que des frères. tous adorables. très avenants, sympathiques et surtout protecteurs. j'ai eu une belle enfance avec eux. mes parents étaient mariés depuis trois ans quand ils m'ont eu. ils se sont bien occupés de moi. et de mes frangins aussi. pas de soucis là-dessus. c'était merveilleux.

la jouvence

perdue et désillusionnée, j'ai quitté nicoya au bras de mon plus grand frère lorsque j'avais onze ans. lui âgé de vingt-deux ans à l'époque, j'ai pu vivre sous sa responsabilité, à san diego d'abord. pourquoi quitter la famille ? pour avoir de meilleure chance de réussite. j'aimais mes parents, et mon pays. mais le costa rica n'offrait pas ce que les états-unis proposaient. une carrière, des études, du bonheur, des rencontres, une culture différente, l'anglais, l'american dream. l'espoir, le plaisir, l'ambition, la prospérité. tant de chose qui nous faisaient rêver nous, petits costariciens.

après san diego, ce fût le tour de rome. avec le frère, on a posé nos bagages quelques temps en italie. on a eu le temps de faire le tour du pays, de voyager, de visiter. il a été muté, à plusieurs reprises et moi, j'ai continué à le suivre. je voulais pas retourner au costa rica, c'était trop lointain pour moi. je voulais rester avec le frangin, le suivre, le soutenir. et c'est ce que j'ai fait, jusqu'à notre arrivée au danemark. pourquoi le danemark ? c'est dans une petite ville nommée odense que mon frère a été embauché. il a quitté l'armée, il a finit son service. il se reconvertit maintenant, et c'est à mon tour de prendre la relève.

les déconvenues

s'intégrer dans une nouvelle ville, un nouveau pays n'est pas de tout repos. rien n'est facile, quand on ne parle qu'espagnol. pas moyen de communiquer, ou difficilement. il a fallu apprendre l'anglais, puis l'italien. et finalement sans oublier le danois, que j'ai encore du mal à maitriser aujourd'hui. les mots les plus faciles au début, puis les plus compliqués. avec mon grand frère, on a toujours réussi à se trouver un toit. c'est lui qui payait tout, j'étais trop jeune encore. j'allais à l'école, on m'aidait. j'ai fait des rencontres. premier petit copain, première soirée, première défonce. premier clash. première amitié. première fois. premier tout en fait. enfin presque.

les balivernes

x,x,x et x. (à définir) quatre prénoms qui m'hérisse amèrement les poils des gambettes. ces quatre p'tits cons là, ce sont ceux avec qui je traîne, ici à odense. les conneries, les squats, les soirées, les parties endiablées, les engueulades, les prises de becs. on forme un tout. toujours fourrés chez l'un ou chez l'autre. au début ça plaisait pas au frangin, mais il a fini par si faire. je fais les quatre-cents coups avec eux. une belle brochettes de dindes farcies à la crème de camembert. c'beau la déjantitude du slip.

pseudo/prénom ⊱ andréa :hehe:

âge ⊱ dix-sept patateuh :uou:

ton personnage est ⊱ un inventé. avatar ⊱ la jolie magdalena zalejska. crédit ⊱ shouu. comment vous êtes arrivé(e) là ⊱ et mon cul, c'est du poulet ? ah c'est vrai, j'en ai mangé ce soir. :laugh: